Parlons-en ! «… Loin de ma cité, je pense à chaque élément qui puisse lui donner de la valeur. J'entends et vois des choses. Certains sont pour ou contre le bonheur de la communauté, celle du Denguélé, notre Denguélé.

Loin de faire l’occulte de la personnalité, je me permets de donner mon avis sur le pan le plus important de tout ce que nous avons ou aurons sur cette terre des hommes… Je veux parler de la Culture, celle qui porte les marques de notre identité. Ainsi, je dédie le fond de mon texte aux organisateurs du Festival du Livre et des Arts du Denguélé-FESTILAD.
Quand on a commencé à faire la différence entre le bien et le mal, on a remarqué que notre culture était laissée pour compte. Chose qu’on aura à regretter durant des décennies.
Trop de choses nous troublent l’esprit dans ce monde en pleine mutation !
Respect à l’ONG-Les Citoyens du Livre et des Arts du Denguélé qui, durant 5 ans, a su montrer et prouver qu’elle est mise en place pour une grande visibilité des richesses culturelles du Denguélé, le Grand District du Denguélé.
C’est d’une profonde admiration que je salue la naissance du Festival du Livre et des Arts du Denguélé-FESTILAD et du projet Denguélé Misri Ni Kourou qui a favorisé la numérisation d’importants sites culturels en 3 D.
Pour moi, toutes ces belles initiatives sont pour le bonheur du Denguélé dans la mesure où elles permettent de promouvoir notre riche patrimoine culturel. Cette organisation m’a permis de connaître l’immense richesse culturelle que regorge le Denguélé, connaître la diversité culturelle promue par les initiateurs, la région, certaines de ses histoires, certains sites touristiques et culturels.
Pour dire simple, j’ai pu apprendre à nouveau avec l’ONG CILAD.

Je lance donc un appel à toute la population, aux élus et cadres, à la jeunesse, de prendre en compte les bonnes choses dans leur quotidien. Un festival ne s’organise pas pour les membres d’une famille mais d’une communauté.

J’apprends que l’édition 6 du FESTILAD est en route, je vais lui apporter mon appui dans la mesure du possible et contribuer aussi à l’achat du KIT-FESTILAD 6.
Chaque fille et fils du Denguélé doit savoir que le FESTILAD n’a plus 1 an mais 6 ans.

J’aime le Denguélé et je dois être utile aux membres de l’ONG CILAD présidée par le frère Tidiss KONÉ qui ne ménage aucun effort à être à la tâche et promouvoir nos valeurs culturelles ».

Vivement, le FESTILAD6.

Ismaël KAMATE.