Écrivaine Ivoirienne et native du DENGUÉLÉ, elle a décidé d’aménager son programme annuel pour être avec nous chaque année lorsque se tient le Festival du Livre et des Arts du Denguélé-FESTILAD.
Outre sa présence physique, elle nous appuie dans l’organisation à tous les niveaux. C’est une énorme chance de l’avoir avec nous.
Romancière et nouvelliste de renommée [ La Couleur de l’argent/ Conviction/ Deux comprimés d’aspirine/ Obsession/Pouvoir de Femme/Je n’attendais que toi…], elle a ainsi à son actif nombre d’œuvres que les aficionados du Livre ivoirien ne sauraient ignorer.
Avec l’expérience qu’elle a acquise dans la chaîne du Livre, elle nous en fait partager de pans entiers.
Nous tenons à lui dire infiniment Merci pour cet apport- qu’elle considère comme un devoir- dont elle nous fait grâce depuis quelques années.
C’est une passion extrêmement difficile d’autant plus qu’il faut lancer la machine avec l’espoir d’être soutenu matériellement et financièrement…
Au-delà de cet engagement communautaire à notre niveau, elle prend également ses aises partout en CI où elle est sollicitée.
Pas étonnant que les élèves du LPT de Gagnoa la reçoivent aujourd’hui dans leur antre pour échanger autour des vertus de la Lecture, et particulièrement de << la Couleur de l’argent >>.
À Abidjan aussi, elle s’y met à fond.
Ce type de présence a de quoi nous inciter à continuer cette grande activité. Pour le reste, advienne que pourra!
C’est une grande chance de voir que ce que nous faisons ici depuis quelques années est fait depuis longtemps ailleurs, la différence résidant peut-être dans les moyens qu’a chaque organisation.
Personne n’est par ailleurs étonné qu’il y ait désormais une pluie de Festivals dans le Denguélé. Du fond du cœur, merci Mariam Constance KOMARA pour ce que tu fais pour la Librairie, la Littérature, la Culture et la Jeunesse Ivoiriennes.
DIEU voulant, nous nous retrouverons du 1er au 03 mai 2025 pour l’édition 6 de ton Festival, celui que tu as décidé de supporter corps et âme.
Nous te souhaitons une pleine Santé et un excellent séjour à Gôzô.
Qui sait si tu n’y feras pas des pas de Gbégbé?!
Zen Didi OUATTARA.
